lundi 23 avril 2012

In fin dei conti... - En fin de compte...

... l'unica cosa che conta è di poter ancora sorridere all'arrivo...
... la seule chose qui compte est de pouvoir encore sourire all'arrivée...


Settimana 16 - Semaine 16


Polpacci molto dolenti... martedì non sono riuscita a fare niente o quasi. Ho riposato le gambe per qualche giorno e poi venerdì è stata l'ultima uscita prima di diventare maratoneta. Tranquilla...

Veniamo adesso alla maratona...

Le due sveglie (telefonino e Garmin) suonano alle 5.20. Ho dormito malissimo, svegliandomi tante volte. Mi alzo e faccio colazione con il mix di cereali pre-gara che mi sono portato e il succo d'arancia. La sera prima, appena ero tornata in camera, si era messo a diluviare. Adesso non piove più, il cielo è grigio e l'aria tranquilla. Bene!
Torno a letto, leggo una mezz'oretta e poi spengo la luce. Non dormo ma chiudo gli occhi, mi godo il calore del piumone e, penso, gli ultimi momenti tranquilli. Alle 6.45 mi alzo, bevo un caffè ma non prima di aver messo al polso un'elemento importantissimo, il bracialetto Garmin con il mio obiettivo: 3h45.

Il cielo si sta scoprendo... starà mica arrivando il sole? Non ho voglia di portarmi gli occhiali... ne di avere caldo!!!

Con precauzione assaggio un Red Bull cranberry e... il gusto è accettabile... mi serve la caffeina sopratutto per le sue virtù fisiologiche.

Mi preparo... alle 7.30 sono pronta.

Il cielo è tornato grigio, lascio il capellino e gli occhiali, metto solo la fascia per tenere i capelli sotto controllo.

Indosso la mia magnifica sacca della spazzatura ed esco dalla camera, da qui alla partenza sono poche centinaia di metri. Giro in mezzo alla folla ma non vedo nessuna faccia nota, probabilmente sono al deposito delle sacche. Cammino per non prendere freddo, la temperatura è giusta ma ci sono folate di vento molto sgradevoli. Alle 8.15 tolgo la sacca e mi metto in griglia... i pacers delle 3h45 sono poco dietro di me, decido di partire davanti a loro poi si vedrà. I minuti passano, e sono sempre tranquilla, come anestesiata. Sono pronta, e nemmeno contenta. Ho un "lavoro" da fare, tutto qui.

Si parte!

Dopo 3,5km comincia a piovere... la pioggia ci farà compagnia fino a metà gara, con intensità variabile. Sono presto fradicia, e il vento freddo sui vestiti bagnati non è il massimo... spero che il pancino freddo non mi crei problemi.
Vado un po' troppo forte sui primi 10km ma i due minuti di anticipo che terrò fino alla mezza mi salveranno sulla fine quando farò fatica.
Al km 12 dagli altoparlanti sento il reggae "girl I'm gonna make you sweat" e mi metto a ridere, sono zuppa di pioggia e ho le braccia congelate dentro il tessuto bagnato.
Ai primi rinfornimenti cè solo acqua, acqua, acqua... aspetto il km 16 per bere mezzo bicchierino di coca. Al km 20 (?) provo il PowerBar Drink ma fa schifo, dopo un sorso lo butto via.
Cessa la pioggia ma il vento non cala... almeno asciuga i vestiti!
C'è una salitina bastarda dopo il giro di boa al km 25, poco prima ho preso una pasta di frutta. Fino a quel punto non ho guardato il paesaggio... cielo grigio, lago grigio e agitato, asfalto grigio...
C'è poco pubblico ma è caloroso, le bande invece suonano poco, o melodie soporifiche.

Adesso sta venendo fuori un po' di sole, con l'umidità che c'è non è piacevole, per fortuna il vento aiuta un po' a rinfrescarmi.

Al km 30 prendo una monodose di arnica... se lo fa l'amico Lionel Ozanne che è arrivato quarto del 100km di Belvès la settimana scorsa, lo faccio anch'io.
Il muro dei 30 non c'è... forse un muretto attorno al 36°. Da un po' mi ha superato il gruppone delle 3h45, in anticipo sulla loro tabella di marcia. Gli lascio andare, non mi piace correre in mezzo ad un gruppo.
Al 33° altro bicchierino di coca.
Adesso devo solo pensare a gestire il piccolo anticipo che avevo fino al 30° e che si sta riducendo...
Devo assolutamente andare in bagno ma se mi fermo adesso posso dire addio al mio obiettivo!
Si torna in città e faccio fatica ad accelerare... il 3h45 è praticamente garantito ma non devo mollare. Arrivo in vista del traguardo, riesco a sorridere per l'ultimo fotografo (chissà cosa verrà fuori, una roba da paresi facciale parziale). Fermo il Garmin su 3h44'36'', il tempo ufficiale sarà 3h44'38''.

Non sento niente.
Mi ero immaginato di tutto... ma non sento niente. Prendo una bottiglia d'acqua e una bottiglia di Rivella... non vedo nulla da mangiare, e quindi penso sopratutto a tornare in albergo perché sento che gli effetti della pancia bagnata stanno per farsi sentire.

Dormo in treno al rientro... serata normale, mi fanno un po' male le ginocchia ma dura poco. Lunedì mattina faccio un po' fatica a scendere le scale ma credo che domani andrò a correre... non dirlo a nessuno però!

*****

Mollets en compote... mardi je n'ai pas réussi à courir, ou presque. J'ai laissé reposer les jambes pendant quelques jours et puis vendredi j'ai fait ma dernière sortie avant de devenir marathonienne. Tranquille...

Mais venons-en au marathon...

Mes deux réveils (tél. portable et Garmin) sonnent à 5h20. J'ai mal dormi, je me suis réveillée souvent. Je me lève et je p'titdéj avec les céréales pré-course que j'ai emmenées et un jus d'orange.

Le soir d'avant, à peine étais-je rentrée à l'hôtel qu'il s'était mis à tomber des cordes. Pour le moment il ne pleut plus, le ciel est gris et l'air calme. Bien!

Je retourne me coucher, je lis une demi-heure et ensuite j'éteins la lumière. Je ne dors pas mais je ferme les yeux, je profite de la chaleur du duvet et, j'imagine, des derniers moments tranquilles.
A 6h45 je me lève, je bois un café mais pas avant de m'être mis autour du poignet droit le bracelet offert au stand Garmin avec les temps partiels pour un objectif final de 3h45.

Le ciel est en train de se dégager... le soleil ne va quand même pas arriver? Je n'ai pas envie de devoir mettre des lunettes... ni d'avoir chaud en course!!!

Je goûte avec précaution un Red Bull Cranberry acheté la veille... le goût est acceptable... j'ai besoin de la caféine pour ses effets physiologiques... d'élimination.

Je me prépare... tenue de combat... à 7h30 je suis prête!

Le ciel est à nouveau gris, je laisse de côté la casquette et les lunettes, je porterai juste un bandeau pour garder les cheveux sous contrôle.

J'enfile mon magnifique sac poubelle et je sors de l'hôtel, il n'y a que quelques centaines de mètres à parcourir jusqu'à la zone de départ. Je me promène au milieu de la foule en cherchant des têtes connues mais je ne vois personne des amis avec qui j'ai passé la soirée la veille, ils sont probablement au dépôt des sacs. Je continue de marcher pour ne pas prendre froid, la température est fraîche mais ce sont surtout les rafales de vent qui sont très désagréables.
A 8h15 je sors de mon sac poubelle et je vais me placer dans ma grille de départ. Les pacers des 3h45 sont juste un peu derrière, je décide de partir devant eux et puis on verra bien! Les minutes passent, et je suis toujours calme, presque anesthésiée. Je suis prête, mais pas excitée. J'ai un "boulot" à faire, c'est tout.

8h30: départ!

Après 3,5 km il se met à pleuvoir... la pluie nous tiendra compagnie pendant presque deux heures, avec une intensité variable. Je suis vite trempée, et le vent froid sur les habits mouillés c'est pas le top. j'espère que le froid au ventre ne me posera pas de problèmes.
Je vais un chouia trop vite sur les 10 premiers km mais les deux minutes d'avance que je prends me seront utiles à la fin quand je commencerai à peiner un peu.
Au 2e km j'entends sortir des hauts-parleurs le reggae "girl I'm gonna make you sweat", je me mets à rire toute seule... je suis trempée de pluie et j'ai les bras congelés dans les manches mouillées.
Aux premiers ravitos il n'y a que de l'eau, de l'eau, de l'eau... pas pour moi merci... j'attends le 16e km pour boire un demi gobelet de coca. Aux alentours du 20e km j'essaie le PowerBar Drink mais c'est un jus immonde, après une gorgée je jette le reste.
La pluie cesse mais le vent ne se calme pas... au moins ça sèche les vêtements.
Il y a une sale petite montée juste après le demi-tour au 25e km.
J'ai pris une pâte de fruits peu avant.
Pas trop regardé le paysage... ciel gris, lac gris et agité, route grise.
Il y a peu de public mais il est chaleureux, les groupes musicaux ne jouent pas beaucoup ou jouent des trucs soporifiques.
A présent il y a un peu de soleil, avec l'humidité ambiante ça devient rapidement pénible, heureusemet que le vent continue de rafaîchir par rafales.
Au 30e km je prends une monodose d'arnica.

Pas de mur au 30e... peut-être un mini-muret autour du 36e...
Le groupe des 3h45 m'a dépassée depuis quelques km, en avance sur le temps prévu. Je les laisse aller, je n'aime pas courir au milieu d'un groupe.

Au 33e km encore un peu de coca.

Maintenant je dois juste gérer le peu d'avance que j'avais jusqu'au 30e et qui est en train de fondre comme neige au soleil!
Je dois absolument aller aux toilettes mais pas question de m'arrêter maintenant sinon je peux dire adieu à mon objectif! Je serre les dents et le reste.

Retour en ville... j'ai de la peine à accélérer... les 3h45 sont quasiment garanties mais je ne dois pas faiblir!
J'entrevois l'arrivée et je réussis (je crois) à sourire pour les dernières photos (Dieu sait ce que ça va donner). J'arrête mon Garmin sur 3h44'36'', le temps officiel sera de 3h44'38''.

Je ne ressens rien.
J'avais tout imaginé... mais je ne ressens rien! Je prends une bouteille d'eau et une bouteille de Rivella, comme je ne vois rien à manger je ne traîne pas, l'intestin a décidé que maintenant c'était son tour de s'exprimer, il vaut mieux que je retourne dare-dare à l'hôtel!

Dodo dans le train au retour, puis soirée normale, un peu mal aux genoux mais c'est déjà passé, aujourd'hui un peu de peine à descendre les escaliers mais demain je vais courir, ne le dites à personne!

lundi 16 avril 2012

Settimana 15 - Semaine 15


Sono quasi stufa :-)
Il ritorno di condizioni atmosferiche più novembrine che primaverili avrebbe potuto scoraggiarmi negli ultimi giorni... ma io amo correre col freddino e con la pioggia!
Ho leggermente "esagerato" negli allenamenti di questa settimana, mi riservo il diritto di scarseggiare nella vera ultima settimana di scarico pre-maratona.
Non sto più scoprendo grandi cose, e in questa fase è giusto così. Sono pronta, pronta, prontaaaaaaa! Lasciatemi correre 'sti dannati 42'195 metri! Poi cosa verrà fuori non lo so :-)

*****

J'en ai presque marre :-)
Le retour de conditions atmosphériques plus dignes d'un mois de novembre que du printemps aurait pu me décourager ces derniers jours... mais c'est sans compter que j'aime courir avec la pluie et le froid!
J'ai légèrement "exagéré" avec les entraînements de cette semaine, je me réserve le droit de ne plus faire grand-chose uniquement durant la toute dernière semaine avant le marathon.
Je ne fais plus de grandes découvertes, ce qui est normal dans cette phase. Je suis prête, prête, prêêêêête! Laissez-moi courir ces fichus 42'185 mètres! On verra bien ce que ça donne :-)

mardi 10 avril 2012

Settimana 14 - Semaine 14


Compiti fatti...
Il meritato (?) riposo dopo il lungo di venerdì sembra aver giovato. Andiamo avanti!

*****

J'ai fait mes devoirs...
Le repos bien mérité (?) après la sortie longue de vendredi semble avoir été bénéfique. On continue!

jeudi 5 avril 2012

Piccola preghiera - Petite prière

Caro polpaccio destro…


io e te spesso non andiamo d’accordo. Quasi due anni fa ti comprai il primo paio di boosters e per un po’ le cose andarono bene, tu e tuo fratello accettaste di seguirmi anche sui sentieri più impervi senza lamentarvi. Lo scorso luglio però mi capitò di rovinarmi la caviglia sinistra… e tu, fedelmente, fosti la mia salvezza, la garanzia del mio equilibrio. Per lunghi mesi hai dovuto lavorare di più del tuo fratello sinistro, sempre intimorito sulla sua base articolare dolorante e vacillante. Ad ogni massaggio lo sentivo più distintamente, quanto ti eri impegnato di più, quanto avevi sofferto di più, in silenzio, senza nemmeno farmelo notare durante lo sforzo.

Ti sei stancato. Ti capisco.

Prima della mezza di Verona ho sentito i tuoi primi gemiti, intermittenti. Durante la gara però sei stato un guerriero perfetto. Prima della mezza del Lago Maggiore ti ho sentito di nuovo, forse un po’ più insistente ma sempre discreto. Anche quella volta in gara hai stretto le tue fibre e mi hai seguita, anzi preceduta alla grande. Non era prevista la Stramilano ma quando l’ho aggiunta sul mio calendario non ti sei lamentato, mi era quasi sembrato che fosse stata la gara della riconciliazione tra me e te. Sembravi tranquillo, pacificato.

Poi la settimana scorsa ti ho sentito più teso. Sabato scorso dovevo correre 32km, l’ultimo grosso sforzo preparativo per la maratona, e temevo un po’ la tua reazione. E’ andata bene, io, te e il tuo fratello abbiamo fatto un bel giro tutti insieme. Domenica hai riposato bene, credevo che fosse tutto a posto ormai.

Ieri mattina ho capito che non era così. Che se ti chiedevo “cosa c’è che non va?” e tu mi rispondevi “niente” ma con questo tono duro che non ti conoscevo, allora tutto a posto non era. Quello che era il tuo gemito discreto stamattina è diventato un lamento profondo. Stai soffrendo, e io tra 17 giorni ti imporrò 42 km. Puoi odiarmi, ne hai il diritto a questo punto.
Però manca così poco… oggi ti chiederò solo 8 km… domani 21… poi riposiamo qualche giorno e iniziamo lo scarico.

Ti prego, non andare in crisi adesso. [-o<[-o<[-o<

*****

Cher mollet droit...

toi et moi ne sommes pas souvent d'accord. Il y a presque deux ans je t'achetai la première paire de boosters et pendant un certain temps tout se passa bien, toi et ton frère gauche avez accepté de me suivre sur les sentiers les plus raides sans vous plaindre. Mais en juillet dernier j'ai eu la mauvaise idée de me bousiller la cheville gauche... e toi, fidèlement, tu fus mon sauveur, la garantie de mon équilibre. Pendant de longs mois tu as dû travailler plus que ton frère gauche, toujours apeuré sur sa base articulaire endolorie et vacillante. A chaque massage je me rendais compte plus clairement du travail que tu avais dû fournir en sus, de combien tu en souffrais, en silence, sans même me le faire remarquer durant l'effort.

Tu t'es lassé. Je te comprends.

Avant le semi de Vérone j'ai senti tes premiers gémissements, intermittents. Mais pendant la course tu t'es révélé un parfait soldat. Avant le semi du Lac Majeur je t'ai senti à nouveau, peut-être un peu plus insistant mais toujours discret. Cette fois aussi pendant la course tu as serré les fibres et tu m'a suivie, ou plutôt précédée de belle manière. La Stramilano n'était pas prévue mais quand je l'ai ajoutée à mon calendrier tu ne t'es pas plaint, j'ai presque cru que cela avait été la course de la réconciliation entre toi et moi. Tu me semblais tranquille, apaisé.

Et puis la semaine dernière je t'ai senti plus tendu. Samedi dernier je devais courir 32km, dernier gros effort de préparation pour le marathon, et je craignais un peu ta réaction. Tout s'est bien passé, toi, ton frère et moi avons fait un joli tour tous ensemble. Dimanche tu as pu bien te reposer, je pensais que désormais tout était réglé.

Hier matin j'ai compris qu'il n'en était rien. Si quand je te demande "qu'est-ce qui ne va pas?" tu me réponds "rien" avec ce ton dur que je ne te connaissais pas, alors tout n'est pas réglé. Ce qui n'était qu'un gémissement discret ce matin est devenu une lamentation profonde. Tu souffres, et moi dans 17 jours je t'imposerai 42 km. Tu peux me détester, je pense que tu en as le droit dans ces circonstances.

Mais nous sommes si près du but... aujourd'hui je te demanderai seulement de courir 8 km... demain 21... ensuite nous nous reposerons quelques jours et entamerons une période d'entraînement plus douce.

Je t'en prie, ne me lâche pas maintenant. [-o<[-o<[-o<

mardi 3 avril 2012

Settimana 13 - Semaine 13


56km questa settimana, il mio massimo fino ad oggi.

32km un po' più lentini di quelli di due settimane fa... però con caldo estivo e zainetto camelbak.


A livello fisico funziona tutto.
A livello mentale non vedo l'ora di finire questa preparazione e di ritrovare il mio tempo libero.
E' nel mio carattere non fare le cose a metà, e così ho seguito religiosamente (o quasi) il programma di allenamento. Mi ha dato e continua a darmi grandi soddisfazioni, però comincia a mancarmi l'aria.
Ho voglia e bisogno di tempo per fare "niente", e non ce l'ho più. Ho voglia di correre questa benedetta maratona ADESSO e poi di passare ad altro, di tornare ad altro.
Sono felice di non avere più allenamenti lunghissimi da fare e di non dovermi più organizzare il finesettimana attorno a quelli.
Non che li abbia vissuti male, anzi... qualche allenamento da 30km durante la stagione fredda ci sta benissimo.
Però solo quando ne avrò voglia io.

*****

56km cette semaine, mon maximum à ce jour.

32km un peu plus lents qu'il y a deux semaines, mais par une chaleur estivale et avec camelbak sur le dos.

Au niveau physique tout va bien.
Au niveau mental je suis impatiente de finir cette préparation et de retrouver mon temps libre.
Ne pas faire les choses à moitié fait partie de mon caractère, et j'ai suivi religieusement (ou presque) le programme d'entraînement. Cela m'a donné et continue à me donner de grandes satisfactions, mais je commence à manquer d'air.
J'ai envie et besoin de temps pour "ne rien faire", et je n'en ai plus. J'ai envie de courir ce fichu marathon MAINTENANT et puis de passer à autre chose, de retourner à autre chose.
Je suis heureuse ne ne plus avoir de sorties très longues à faire et de ne plus devoir organiser mes fins de semaine en fonction de celles-ci.
Ce n'est pas que je les aie mal vécues, au contraire... quelques entraînements de 30km pendant la saison froide me tentent toujours.
Mais seulement quand j'en aurai envie.